Damit das Fernwärmenetz cool bleibt: das Potenzial digitaler Echtzeit-Optimierung

Damit das Fernwärmenetz cool bleibt: das Potenzial digitaler Echtzeit-Optimierung

Die Schweiz setzt auf Fernwärme. Doch die nachhaltige, dezentrale Wärmedistribution stellt Energieversorger und Netzbetreiber vor neue Herausforderungen. Hoval Schweiz bietet Unterstützung – mit smarten Digitalisierungs-Tools.

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Rien d’étonnant à ce que le thème de la «chaleur à distance» suscite de plus en plus la curiosité en Suisse. Le principe a en effet tout pour plaire: en lieu et place d’un système de chauffage par bâtiment, il est proposé de fournir la chaleur depuis un point central. C’est précisément dans les zones densément peuplées que ces réseaux de chauffage urbain constituent une option efficace pour fournir de l’énergie thermique aux habitations privées comme aux bâtiments commerciaux. Une approche qui s’inscrit donc idéalement dans la volonté politique de durabilité des villes et des régions suisses. «Mais nous savons, grâce aux retours d’informations des fournisseurs d’énergie et des exploitants de réseaux, que la mise à disposition concrète de cette chaleur à distance s’avère souvent un véritable casse-tête», explique Sandro Candrian, expert en chauffage à distance chez Hoval.

En cause, les exigences supplémentaires auxquelles les fournisseurs d’énergie et les gestionnaires de réseau doivent répondre en matière de chauffage urbain. Et les critères sont multiples: non seulement les fournisseurs doivent exploiter de nouveaux sous-systèmes (nécessitant fréquemment d’importants investissements), mais ils ont également la responsabilité de répondre aux exigences des consommateurs de chaleur et de se conformer à des réglementations supplémentaires. «Et du fait que le rôle de fournisseur de chaleur est totalement inédit pour certains prestataires d’énergie, contractants et exploitants de réseaux suisses, ces derniers sont contraints d’acquérir les compétences correspondantes en parallèle de leurs activités au sein de l’entreprise», résume Sandro Candrian. Certes, ils y parviennent mais cela ne simplifie naturellement pas la gestion des affaires courantes.